• Carpe Diem? Ailleurs? Mais où?

    Mignonne, allons voir si la rose


    Qui se matin avait déclose


    Sa robe de pourpre au soleil


    A point perdu cette vêprée


    Les plis de sa robe pourprée


    Et son teint au votre pareil



    La mort, de temps à autre, vient nous rappeler au Carpe Diem mais pas seulement, sinon, ça serait trop facile... Un collègue à moi (le seul avec qui j'avais des conversations intéressantes dans l'entreprise) est parti, ce lundi, pour l'au-delà, sans crier gare... Il devait s'absenter pour une semaine, juste une semaine...



    Sa mort m'a profondément bouleversé... J'ai eu le même sentiment qu'au moment où j'ai appris la mort de l'Abbé Pierre... J'ai cru que le Monde se vidait brusquement et précipitamment de ses meilleurs alliés...



    Je reprends ici un texte qu'il m'avait remis il n'y a pas très longtemps, une réflexion sur le Temps, l'angoisse de la Mort et le moyen que l'Homme a trouvé pour continuer à vivre malgré tout : "Les Araméens de Babylone, ces ancêtres lointains des Chaldéens, Assyriens et Cananéens, mystagogues de la métaphysique sumérienne, inlassables contemplateurs de l'univers, ont observé les premiers que l'espace est infini et le temps éternel et que le rapport du temps à l'espace est perpétuel mouvement. Ils en retinrent, dès lors, que tout coule pour toujours, tout est recommencement, que la vie et la mort sont consubstantielles dans une relation dialectique unidimensionnelle. De là naquit le concept monothéiste véhiculé par la tradition hébraïque de nos aïeux (...)"

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